Afin de réduire les pollutions aux pesticides impactant la ressource en eau du bassin versant, le SMAGGA organisait, pour la 2ème année consécutive, une matinée technique à destination des communes sur le thème des alternatives à l'usage des phytosanitaires dans les espaces publics et plus particulièrement aux pieds des arbres.
Ainsi, une quarantaine d'élus et de techniciens s'était donné rendez-vous à Soucieu-en-Jarrest mardi 1er mars 2016 pour :
- une présentation du travail d'accompagnement des communes par le SMAGGA dans le cadre de l'adhésion à la charte "Zéro pesticide dans nos villes et nos villages". 21 des 27 communes ayant d'ores et déjà signé cette charte, les autres étant actuellement en phase de réflexion,
- un retour d'expérience de la commune de Grigny, signataire de la charte en 2014, sur son programme de communication à destination des administrés, associé à la mise en œuvre de la charte.
- la présentation de différentes techniques possibles pour la gestion des pieds d'arbre et leur entretien, suivie d'une démonstration de matériel alternatif à l'usage de pesticides par la MFR de Sainte-Consorce (balais thermique Stihl, Citycut, Cultivion, désherbeur thermique, houe communale…)
"Les communes ayant signé la charte zéro pesticide bénéficient d'une aide du SMAGGA pour la réalisation d'un plan de désherbage. Celui-ci définit des axes pour remplacer progressivement les pesticides par des méthodes alternatives pour l'entretien d'espaces publics. Ce type de journée permet de s'informer sur le matériel existant, mais aussi et surtout d'échanger avec les collègues sur leur efficacité", souligne Gérard Granados, Vice-Président en charge de la qualité de l'eau.
Rappelons que des commandes groupées de ce type de matériel permettent aux communes de bénéficier de subventions pouvant atteindre 80 %.
En conclusion, Frédéric Augier, animateur qualité de l'eau du SMAGGA, a rappelé l'importance de la réflexion en amont de la conception d'un projet d'aménagement urbain., "Pour ne pas être subi et éviter les mauvaises surprises, l'entretien d'un espace public doit être pensé dès la phase projet et ce en concertation avec les agents communaux qui sont les mieux placés pour connaître les contraintes d'entretien de ces espaces", précise-t-il.
Ainsi, une quarantaine d'élus et de techniciens s'était donné rendez-vous à Soucieu-en-Jarrest mardi 1er mars 2016 pour :
- une présentation du travail d'accompagnement des communes par le SMAGGA dans le cadre de l'adhésion à la charte "Zéro pesticide dans nos villes et nos villages". 21 des 27 communes ayant d'ores et déjà signé cette charte, les autres étant actuellement en phase de réflexion,
- un retour d'expérience de la commune de Grigny, signataire de la charte en 2014, sur son programme de communication à destination des administrés, associé à la mise en œuvre de la charte.
- la présentation de différentes techniques possibles pour la gestion des pieds d'arbre et leur entretien, suivie d'une démonstration de matériel alternatif à l'usage de pesticides par la MFR de Sainte-Consorce (balais thermique Stihl, Citycut, Cultivion, désherbeur thermique, houe communale…)
"Les communes ayant signé la charte zéro pesticide bénéficient d'une aide du SMAGGA pour la réalisation d'un plan de désherbage. Celui-ci définit des axes pour remplacer progressivement les pesticides par des méthodes alternatives pour l'entretien d'espaces publics. Ce type de journée permet de s'informer sur le matériel existant, mais aussi et surtout d'échanger avec les collègues sur leur efficacité", souligne Gérard Granados, Vice-Président en charge de la qualité de l'eau.
Rappelons que des commandes groupées de ce type de matériel permettent aux communes de bénéficier de subventions pouvant atteindre 80 %.
En conclusion, Frédéric Augier, animateur qualité de l'eau du SMAGGA, a rappelé l'importance de la réflexion en amont de la conception d'un projet d'aménagement urbain., "Pour ne pas être subi et éviter les mauvaises surprises, l'entretien d'un espace public doit être pensé dès la phase projet et ce en concertation avec les agents communaux qui sont les mieux placés pour connaître les contraintes d'entretien de ces espaces", précise-t-il.


